New Year’s Eve 2010 in London : Trouver son restaurant du réveillon

Bonjour tout le monde, aujourd’hui ce n’est pas pour vous conter de nouvelles péripéties que j’écris ce billet, mais plutôt pour demander un coup de pouce aux londoners qui me lisent.
Je serais à Londres pour le passage à 2010, aussi je cherche un restaurant sympa pour le 31 où je pourrais réserver une table pour ma belle et moi. Pas de critères exceptionnels si ce n’est qu’on aimerait ne pas consacrer plus de £40 par personne pour ce repas (c’est que la soirée ne s’arrêtera pas là ;), et que ça serait bien que ledit restaurant propose des plats pour les végétariens. Donc si vous avez de bonnes adresses à me conseiller, ou tout simplement une rue où je pourrais trouver mon bonheur, merci de me laisser un message en commentaire de ce billet (ou un petit mail via ce formulaire).
Merci d’avance à ce qui sauront me donner un coup de main !
PS : Ah oui j’oubliais, on n’est pas très fan de la nourriture indienne, mais à part ça on n’est pas très difficile !

Bonjour tout le monde, aujourd’hui ce n’est pas pour vous conter de nouvelles péripéties que j’écris ce billet, mais plutôt pour demander un coup de pouce aux londoners qui me lisent.

Je serai à Londres pour le passage à 2010, aussi je cherche un restaurant sympa pour le 31 où je pourrais réserver une table pour ma belle et moi. Pas de critères exceptionnels si ce n’est qu’on aimerait ne pas consacrer plus de £40 par personne pour ce repas (c’est que la soirée ne s’arrêtera pas là ;), et que ce serait bien que ledit restaurant propose des plats pour les végétariens. Donc si vous avez de bonnes adresses à me conseiller, ou tout simplement une rue où je pourrais trouver mon bonheur, merci de me laisser un message en commentaire de ce billet (ou un petit mail via ce formulaire).

Merci d’avance à ce qui sauront me donner un coup de main !

PS : Ah oui j’oubliais, on n’est pas très fan de la nourriture indienne, mais à part ça on n’est pas très difficile !

London lesson #3 : Bonjour, je voudrais £60 d’électricité s’il vous plaît

Ca c’est typiquement le genre de phrase qu’on n’entend jamais… sauf si vous vivez en Grande Bretagne. Pour vous replacer un peu le contexte, samedi matin, peu de temps après que j’ai pris ma douche, mon colloc déboule dans la cuisine vérifier la chaudière. Un problème dude ? « Plus d’eau chaude ». En fait il n’y avait plus d’eau chaude, ni de chauffage… Pas de gaz quoi ! Premier réflexe de bon frenchie : coupure dans le réseau de gaz de la ville ? Panne de la chaudière ?
Non non non. En fait on a su quelques heures plus tard qu’ici le gaz et l’électricité sont distribués via (attention suspense)… un système de cartes prépayées (oui oui, comme les mobicartes de chez orange, tout pareil). Et comme chez orange, pas de crédit = pas de téléphone gaz. Un peu brutal comme système non ? Ici ça ne choque pas grand monde apparemment…
Et donc pour la petite histoire, quand cette situation arrive, il faut se pointer avec la carte à puce (spécifique à votre compteur) chez le « marchand de gaz » (nous on a des marchands de journaux en France, ici ils ont des marchands d’énergie en plus), et recharger la carte. De retour à la maison, on insère la carte dans le compteur, et c’est reparti pour quelques temps.
Je crois que je n’ai pas fini d’en découvrir des choses ici…

Ça c’est typiquement le genre de phrase qu’on n’entend jamais… sauf si vous vivez en Grande Bretagne. Pour vous replacer un peu le contexte, samedi matin, peu de temps après que j’ai pris ma douche, mon colloc déboule dans la cuisine vérifier la chaudière. Un problème dude ? « Plus d’eau chaude« . En fait il n’y avait plus d’eau chaude, ni de chauffage… Pas de gaz quoi ! Premier réflexe de bon frenchie : coupure dans le réseau de gaz de la ville ? Panne de la chaudière ?

Non non non. En fait on a su quelques heures plus tard qu’ici le gaz et l’électricité sont distribués via (attention suspense)… un système de cartes prépayées (oui oui, comme les mobicartes de chez orange, tout pareil). Et comme chez orange, pas de crédit = pas de téléphone gaz. Un peu brutal comme système non ? Ici ça ne choque pas grand monde apparemment…

Et donc pour la petite histoire, quand cette situation arrive, il faut se pointer avec la carte à puce (spécifique à votre compteur) chez le « marchand de gaz » (nous on a des marchands de journaux en France, ici ils ont des marchands d’énergie en plus), et recharger la carte. De retour à la maison, on insère la carte dans le compteur, et c’est reparti pour quelques temps.

Je crois que je n’ai pas fini d’en découvrir des choses ici…

Petit retour en France

A partir de demain 11h, je serais en France, à Bordeaux plus exactement et celà jusqu’à mercredi matin. Au programme, les retrouvailles avec des personnes auxquelles je tiens, un petit tour dans les nouveaux locaux de SUPINFO Bordeaux et surtout le gala du WEIO 2009 :)
Pour arriver à 11h à Bordeaux (et donc 10h heure anglaise) il va falloir passer par un petit parcours du combattant. Cette nuit, levé programmé à 3h15, avec un départ à 4h. Suivront ensuite deux bus de nuit (soit 1h15 de trajet), avant de prendre une navette pour l’aéroport aux alentours de 6h. Tout cela pour une arrivé programmé à l’aéroport un peu après 7h du matin et un décollage à 8h20 !
La nuit prochaine va donc être courte, et j’espère ne pas rencontrer de souci dans mon périple !
Souhaitez-moi bonne chance !
PS : Ce retour en France sera pour moi l’occasion de tester la prestation de British Airways, et donc peut-être bientôt de vous faire un petit comparatif Easyjet / Ryanair / British Airways…

A partir de demain 11h, je serai en France, à Bordeaux plus exactement, et cela jusqu’à mercredi matin. Au programme, les retrouvailles avec des personnes auxquelles je tiens, un petit tour dans les nouveaux locaux de SUPINFO Bordeaux et surtout le gala du WEIO 2009 :)

Pour arriver à 11h à Bordeaux (et donc 10h heure anglaise) il va falloir passer par un petit parcours du combattant. Cette nuit, levé programmé à 3h15, avec un départ à 4h. Suivront ensuite deux bus de nuit (soit 1h15 de trajet), avant de prendre une navette pour l’aéroport aux alentours de 6h. Tout cela pour une arrivée programmée à l’aéroport un peu après 7h du matin et un décollage à 8h20 !

La nuit prochaine va donc être courte, et j’espère ne pas rencontrer de souci dans mon périple.

Souhaitez-moi bonne chance !

PS : Ce retour en France sera pour moi l’occasion de tester la prestation de British Airways, et donc peut-être bientôt de vous faire un petit comparatif Easyjet / Ryanair / British Airways…

Edit du 29/11/2009 : Mon trajet s’est bien passé et j’ai pu fouler le sol Bordelais dès 10h50 hier matin ! J’ai trouvé assez « efficace » le trajet de nuit pour se rendre à l’aéroport de Gatwick, je conseille ça aux londoniens plutôt que d’arriver la veille et de passer la nuit à essayer de dormir dans le terminal.

London lesson #2 : Trouver son logement

J’ai trouvé ma chambre
Hier cela faisait tout juste deux semaines que je suis à Londres. Cela fait aussi quelques jours que je suis installé dans ma « chambre ». Je dis chambre parce que je partage désormais une petite maison victorienne du nord de Londres avec… 7 autres personnes ! En effet ici à Londres, les loyers sont extrêment élevés et pas toujours facile à trouver, voici donc un petit retour d’expérience sur ma phase de recherche.
Définir ses critères de choix
Des logements à louer, à Londres, il y en a plusieurs centaines de nouveaux chaque jour. Aussi il est important de réfléchir aux critères qui feront que l’on retienne une offre et pas une autre.
Bien sûr, beaucoup diront « moi du moment que c’est propre et que je peux y dormir »… mais à moins d’être prêt à changer de maison tous les mois, mieux vaut essayer de trouver quelque chose qui satisfasse d’emblée la majorité de nos souhaits. De quels critères je parle ? Pour moi il y en avait quatre : je voulais un lit double dans ma chambre, une connexion internet et une machine à laver dans ma maison, le tout pour maximum £500/mois (toutes factures comprises). Il fallait aussi que le métro ne soit pas trop loin, si possible sur une ligne desservant bien le centre ville.
Pour d’autres ce sera le nombre/la nationalité des collocataires qui importera, ou encore la présence d’une TV, d’un téléphone fixe avec appels gratuits vers l’UE etc…
Une fois ces critères sélectionnés, on peut ensuite se mettre en chasse efficacement. Voici donc deux des sites les plus intéressants pour londres :
http://www.gumtree.co.uk (petites annonces en tout genre, genre www.leboncoin.fr en France, très utilisé à Londres pour l’immobilier)
http://www.moveflat.co.uk (site dédié aux logements et services annexes. moins riche en contenu que gumtree, on y trouve aussi de bonnes offres)
La suite n’a pas de secret : vous n’arriverez pas à grand chose en vous contentant d’envoyer des e-mails. Comme vous, de nombreuses personnes sont à la recherche d’un logement sur la capitale et la moindre offre intéressante a tendance à partir (très) vite. Le mieux est donc d’appeler directement l’annonceur, on vous proposera généralement un rendez-vous le jour même, la transaction peut donc être réalisée en moins de 24h.
Mon expérience personnelle
J’ai trouvé mon logement en 4 jours, fait les papiers en 3 jours, et ai du attendre une semaine que le logement soit libre avant de pouvoir m’installer. Je vis donc désormais dans le quartier d’Haringey, à quelques minutes de la station « Manor House » sur la Piccadily Line. Je paie £433/mois et ce montant couvre mon loyer, les charges, l’électricité, le chauffage et internet.
Une qualité d’hébergement très inégale
Durant ma recherche, j’ai visité environ 5 logements, tous au même prix (environ £450), et tous dans le même quartier. J’ai été impressionné par la disparité des offres pour des critères si proches. Tous correspondaient aux critères situés plus haut mais alors certains étaient… de véritables taudis ! Très sombres, tapisserie arrachée, peinture cloquée, moisissures, odeur pestilentielle etc… ça en faisait froid dans le dos.
Donc préparez-vous à tous les scénarios imaginables, ici certains propriétaires ne sont là que pour le Business et ne s’occupent absolument pas d’entretenir leurs biens immobiliers. Il vaut mieux le savoir ;)
Attention aux arnaques
Parfois, on peut voir des logements extrêmement bien placés (en Zone 1 ou début de Zone 2) pour des loyers modiques par rapport au prix du marché. Bien souvent, il s’agit d’arnaques dont le but est de vous soutirer la caution sans jamais vous donner les clés. Méfiez-vous donc des offres un peu trop alléchantes, ne donnez jamais d’argent sans avoir au moins un reçu de la part du propriétaire, ou mieux les clés de l’appart/maison. Vous voilà prévenus !
En bonus pour ceux que ça intéresse, voici quelques photos de ma fameuse chambre :

Demain cela fera tout juste trois semaines que je suis à Londres. Cela fait aussi quelques jours que je suis installé dans ma « chambre ». Je dis chambre parce que je partage désormais une petite maison victorienne du nord de Londres avec… 7 autres personnes ! En effet ici à Londres, les loyers sont extrêment élevés et pas toujours facile à trouver, voici donc un petit retour d’expérience sur ma phase de recherche.

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London lesson #1 : Plug and play ? Oui mais pas sans adaptateur

Comme promis voici donc le premier billet de la rubrique « London Lesson », rubrique qui aborde les petites spécificités de la vie ici en angleterre.
Pour ce premier épisode j’ai donc choisit de vous parler des prises électriques ici en UK. Si vous ne le savez pas encore, les prises ne sont pas les mêmes en Grande Bretagne. Et quand je dis « pas les mêmes », j’entends par là qu’elles sont différentes de ce que j’ai pu trouver ailleurs en Europe ou de ce qui se fait en Amérique du Nord…
1ère contrainte : la forme
Donc comme je le disais, ces prises sont différentes et présentent donc 3 broches rectangulaire, disposées en triangle. Ici contrairement à la France, il n’y a pas plusieurs variantes de prises (avec certaines ayant 2 broches, d’autres 3 etc…) : toutes respectent le même standard que vous pouvez voir ci-dessous.
Du coup, pour utiliser vos appareils français sur le sol britannique, vous aurez besoin de petits adaptateurs qui se placeront entre votre prise (française, américaine etc…) et le support britannique. Voici à quoi ressemble ce genre d’adaptateur. Ca coûte 4€ et ça se trouve dans toutes les bonnes crèmeries.
2ème contrainte : la tension
Si vous débarquez avec vos appareils français en Angleterre, vous n’aurez peut-être pas de souci en les branchant sur le circuit électrique local. Dans l’autre sens par contre, je vous recommande de faire sérieusement attention, et vous allez comprendre pourquoi.
Ici le circuit électrique est alimenté en 110V contre 220 en France. Par conséquent en branchant des appareils prévus pour du 220 sur du 110, votre seul risque sera de ne pas voir vos périphériques fonctionner (je vous rassure, la plupart du temps cela marche très bien). Si vous faites l’inverse c’est le feu d’artifice assuré et un nouveau cale porte électronique à la clé.
Pour ne pas faire de bêtises, consultez les indications inscrites sur votre appareil et cherchez la valeur indiquée en face de « INPUT ». Souvent vous verrez quelque chose du genre « 100-240V » ce qui signifie que vous pouvez brancher votre appareil n’importe où le courant aura une valeur comprise en 100V et 240V. Si ce n’est pas le cas il faudra peut-être songer à utiliser un transformateur.
Un petit tips en passant : si vous voyagez à destination du Royaume-Uni…
Une bonne astuce consiste à emporter avec vous une multiprise de votre pays et de la brancher en Grande Bretagne sur le circuit local à l’aide d’un adaptateur comme celui présenté plus haut. Cela vous permettra de n’utiliser qu’un seul adaptateur pour plusieurs appareils.

Comme promis voici donc le premier billet de la rubrique « London Lesson », rubrique qui aborde les petites spécificités de la vie ici en Angleterre.

Pour ce premier épisode j’ai donc choisit de vous parler des prises électriques ici en UK. Si vous ne le savez pas encore, les prises ne sont pas les mêmes en Grande Bretagne. Et quand je dis « pas les mêmes », j’entends par là qu’elles sont différentes de ce que j’ai pu trouver ailleurs en Europe ou de ce qui se fait en Amérique du Nord…

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